Le No code Maker est au cœur de la construction des applications web et mobiles d’aujourd’hui et surtout de demain. Seulement 0,3% de la population mondiale sait coder alors que les estimations prévoient plus de 500 millions d’applications d’ici 2024. Mathématiquement, ce n’est clairement pas suffisant !
Heureusement, la technologie No code apporte une alternative concrète. Elle répond plus simplement aux besoins des entreprises, et les aide à concrétiser leurs projets.
Mais, qui est-il vraiment le No Code Maker ? Quel est son rôle ? Sur quels projets il travaille ? C’est ce que nous allons voir dans cet article.
Qui est le No Code Maker ?
Le No Code Maker baigne dans le monde du digital et des outils numériques.
- Il est à l’affût des dernières technologies et les teste en permanence pour ses projets, qu’ils soient professionnels ou personnels.
- Est un ambassadeur naturel des outils qu’il utilise.
- Aime partager ses tests, découvertes et créations avec ses pairs et son entourage.
Aujourd’hui, le No Code Maker exerce souvent en freelance. Demain, il sera sans aucun doute un peu partout : en agence, en indépendant, ou bien directement dans les entreprises. Le No Code sera son activité principale ou pourra faire partie de ses tâches secondaires. Les Makers vont très probable, à terme, s’internaliser de plus en plus dans les entreprises. Le métier est encore jeune et se construit au fur et à mesure.
La communauté des Makers est composée de différents profils et de nombreuses spécialisations. Certains Makers sont spécialisés en design d’expériences ou d’interfaces avec une forte sensibilité UX/UI. D’autres sont experts en Automatisation, Growth Marketing, SEO, Data, Visual programming, et plus encore. Son expérience peut venir des métiers autour du produit, du développement ou bien du design.
Avant de se lancer professionnellement, il a généralement déjà réalisé un ou plusieurs projets en s’appuyant sur des outils No Code.
Sur quoi travaille-t-il ? Quels sont ses outils ?
Le No Code Maker participe, seul ou en équipe, à la construction d’applications web, mobile ou de sites web. Il travaille sur des cas d’usage précis (marketplace, site e-commerce, automatisation de tâches à faible valeur ajoutées, connexion entre différents outils, application mobile…) et s’appuie sur un ou plusieurs outils No Code (Airtable, Webflow, Bubble, Integromat, pour ne citer que les plus connus), chaque outil ayant ses propres spécificités. Je vous détaillerai ces outils dans un autre article.
Concrètement et pour préciser rapidement le point sur les outils, quand un Maker répond à un besoin client, il peut passer par deux grandes familles d’outils No Code : les outils modulaires, et les outils de Visual Programming.
Les outils modulaires desservent un but spécifique (exemple: Airtable permet de créer des bases de données, Zapier permet de connecter des outils entre eux, Carrd permet de faire du front-end). Lorsqu’un No Code Maker crée une solution de manière modulaire, il vient choisir les outils de son choix, les paramètre et les connecte entre eux.
À l’inverse, les plateformes de Visual Programming intègrent en un seul et même outil les trois composantes indispensables de la création d’une application web ou mobile : les interfaces, les workflows et la data (comme Bubble par exemple). Ainsi, le No Code Maker est en mesure de créer l’application complète sur une seule plateforme.
Leur expertise et leur connaissance des outils est leur force pour réaliser les projets des clients plus simplement, plus rapidement et surtout de manière 100% personnalisée.
Le No Code et ses Makers ouvrent aujourd’hui tout un champ des possibles que ce soit pour les entrepreneurs, les PME ou les grandes entreprises, tous les besoins peuvent être adressés.
Le No Code Maker réalise les idées digitales les plus folles. Grâce au No Code, il fait tomber les barrières technologiques qui freinaient les entreprises jusqu’alors. C’est le métier qui reprend le pouvoir sur la technique.